Teen Jesus and the Jean Teasers est un groupe punk rock australien composé de quatre jeunes femmes originaires de Canberra, en Australie.
Le groupe est composé d’Anna Ryan au chant, de Scarlett McKahey à la guitare, de Neve van Boxsel à la batterie et de Jaida Stephenson à la basse. Le groupe puise ses influences dans le mouvement Riot grrrl, Cherry Glazerr, Dream Wife et WAAX, ajoutant à sa signature sonore le grunge, genre ressuscité des 90’s. La majorité des chansons sont écrites par Anna Ryan qui revendique haut et fort le souhait de créer de la musique qui soit significative et inspirante pour les femmes en particulier.
Un girls band punk-rock comme on n’en fait plus qui n’est pourtant pas sans nous rappeler une certaine Courtney Love et son groupe mythique Hole ! Et ce sentiment transparaît dans leur tout premier EP, « Pretty Good for a Girl Band » !
En collaboration avec le festival australien NYE on the Hill
The BoondocksThe Boondocks est un groupe post-punk originaire d’Estonie. Puisant ses influences dans le post-punk britannique, la brit pop et même le début du R’n’B, The Boondocks cultive un rock’n’roll à la fois grinçant et percutant bourré de riffs de guitares saturés. Du gros son qui flirte cependant avec le rock dans toute sa diversité, sa richesse et son histoire. L’Estonie n’est donc pas en reste du côté du bon vieux rock & roll « On dirait que David Bowie a rencontré les Ramones dans les coulisses d’un concert des Clash ». Leur 4e album a remporté le prix de l’album rock de l’année aux Estonian Music 2022.
Une belle découverte pour le rockeur ou la rockeuse qui sommeille en vous !
En collaboration avec le festival estonien Võnge
Skip the UseLe groupe de rock lillois a fait son grand retour en mars dernier avec la sortie d’un quatrième album : « Human Disorder ».
Skip The Use effectue son grand retour après 2 ans d’absence avec un nouvel album et une nouvelle tournée . L’album, « Human Disorder » intense, bigger than life, aux émotions qui s’entrechoquent, imprime une traversée des ténèbres pour accéder à la lumière, celle qui fait de nous des Hommes. Un nouvel album qui nous montre encore une fois toute l’efficacité et la puissance de Mat Bastard et de son gang. Un album pop- rock parfaitement taillé pour la scène, leur terrain de prédilection.
Attendu depuis cinq ans, le second album de Fishbach est à la hauteur des espérances. Louve solitaire de la chanson française, Flora Fischbach confirme qu’elle chante avec les yeux.
En elle, cohabitent une adolescente rock et déchirée, une femme fatale et une prêtresse rétro-futuriste. Passé présent futur, pour mieux s’affranchir des carcans et aller vers plus de liberté. Fishbach est toujours cette musicienne qui marqua les Victoires de la musique en 2018 avec son premier album À ta merci et cette actrice qui, en 2019, incarna Anaïs aux côtés de Romain Duris dans la série Vernon Subutex. Mais elle est aussi devenue tout autre chose. Créature insaisissable, Fishbach nous entraîne dans la forêt de son nouveau disque Avec les yeux composé loin de la ville, dans les Ardennes, sa terre natale. C’est une forêt hallucinée, pleine d’une lumière nouvelle. Une forêt où l’on se promène les yeux grands ouverts. On y croise, ici, la bizarrerie de Kate Bush ou l’audace de l’australien Kirin J Callinan ; là, la sensualité androgyne de Scorpions et tiens, cachée sous un arbre, une classe à la Marlène Dietrich. Du jeu, une intensité certaine et des outrages !
IzïaArtiste éclatante aux multiples facettes, Izïa ne cesse de se réinventer. Chacun de ses concerts est un tourbillon pop-rock qui emporte tout. Son dernier album, La Vitesse, est une invitation à faire ce qu’elle fait de mieux : tracer sa route en toute liberté !
On pensait la connaître par cœur, et voilà qu’elle arrive à nous surprendre. Izïa signe son grand retour avec son cinquième album paru à l’été 2022, un retour tout aussi réjouissant pour son public que salvateur pour elle. A l’écoute de son premier extrait « Mon cœur », on comprend que les doutes et les limites n’ont pas leur place dans ce nouveau chapitre de sa carrière. L’artiste assume avec talent son goût pour la pop, totalement compatible avec les guitares, les beats nerveux, la célébration de sa force et l’envie de se battre.
Jeanne AddedJamais deux réussites sans trois : preuve en est donnée avec ce troisième album By your side où Jeanne Added impose définitivement sa voix et son groove singulier.
Jeanne Added n’a pas besoin de trop en dire pour offrir beaucoup. Il en a toujours été ainsi, dès son premier album Be Sensational, paru en 2015. Depuis, la musicienne française a enregistré un second album, Radiate, qu’elle a longuement défendu sur scène, prouvant que le coup de cœur du public se transformait petit à petit en une histoire d’amour pérenne.
Avec By your side, le troisième chapitre discographique de Jeanne Added, elle emprunte de nouveaux chemins, entre soul et pop, sans abandonner cette voix saisissante et magnétique qui nous transporte ailleurs; loin du monde, mais tout près d’elle.
Coup de coeur !
Du rock instrumental et cosmique, voilà le projet euphorisant de Meule, tout jeune groupe de rock constitué de Doris Biayenda et Léo Kapes aux batteries et de Valentin Pedler à la guitare et au synthé modulaire !
Un premier album de haute volée, sauvage, explosif et enivrant qu’ils viendront défendre aux Escales cet été ! A voir absolument pour le rockeur ou la rockeuse qui sommeille en vous et tous les curieux.euses avides de découvertes musicales hors normes !
La musique de Meule est portée par des grooves répétitifs et saturés à la CAN, des séquenceurs et des atmosphères électroniques rappelant Tangerine Dream et les groupes de kraut softs allemands des années 70. Plus près de nous dans le temps, on songe aussi à Animal Collective dans l’ôde d’un psychédélisme post-moderne, façon Mario Kart en montée de nutella une nuit de pleine lune.
Une musique kaléidoscopique et intense à voir, à écouter et à danser aussi !
La distorsion des mots et des sons permet de rendre compte d’un vécu très intime mais aussi d’une perception collective. C’est le double mouvement d’Astéréotypie : nous faire entrer dans un monde, celui des troubles autistiques et formuler avec une justesse vertigineuse ce que nous pouvons tous ressentir. C’est rock, c’est punk et c’est puissant !
« Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme… La vie réelle est agaçante ! ». Tels sont les mots de Claire Ottaway, la nouvelle recrue d’Astéréotypie, groupe de post-punk énergique tirant parfois sur le garage-rock ou le noisy. Né en 2010 au sein d’un institut médico-éducatif, le groupe revient avec un troisième album fait de textes atypiques et de phrasés lunaires qui aimantent l’oreille et nous embarquent dans une expédition à haute intensité affective. Croiser le collectif Astéréotypie, ça secoue. Ça fait bouger les jambes quand ça s’élance, ça désarticule les bras à chaque scansion ou rupture de tempo, ça fait hurler en chœur à s’en froisser les cordes vocales et ça fracasse les a priori pour peu qu’il en reste. Aucun groupe ne ressemble à Astéréotypie dans la Drôme, ni sûrement même dans le monde. La vie réelle est parfois réjouissante !
Wu-LuOriginaire du sud de Londres, le créatif producteur et multi-instrumentiste Miles Romans-Hopcraft, alias Wu-Lu, est un défi pour les ayatollahs du classement. Venu du skateboard, le musicien trace une trajectoire téméraire qui passe par le rock underground, l’abstract punk, le jazz lo-fi, le grunge indolent, le hip hop brumeux… Résistant aux genres mais perméable au changement que vit sa communauté de Brixton, Wu-Lu, qui enseigne la production musicale auprès des personnes issues de milieux difficiles, se fait le porte-voix rageur des oubliés de la gentrification.
Steph StringsEN PARTENARIAT AVEC LE FESTIVAL AUSTRALIEN NYE ON THE HILL
Steph Strings est une musicienne auteur-compositeur-interprète de Melbourne (Australie) qui commence à s’imposer sur la scène musicale australienne. Steph Strings est non seulement une guitariste exceptionnellement douée dont la technique et la dextérité impressionnent, mais elle a également la rare capacité à raconter multitudes d’histoires à travers sa musique, souvent inspirée de sa vie personnelle.
Largement influencée par John Butler Trio, Tash Sultana et Ziggy Alberts, le style musical de Steph Strings s’inscrit dans la lignée des bluesmen australiens, entre folk, blues celtique et fingerstyle.
Ses chansons aux accents folk, parfois très « up tempo », vous embarqueront sans détour dans le bush australien ! Steph Strings se produira pour la première fois en Europe dans le cadre du projet Globe-Trotter initié par le Festival Les Escales.
En partenariat avec le NYE on the Hill (Australie), festival de musique situé dans l’État de Victoria, à deux heures de Melbourne, qui programme prioritairement des artistes de la scène musicale émergente australienne.
AySay
EN PARTENARIAT AVEC LA SALLE DANOISE ALICE CPH
AySay incarne à la perfection la diversité et la mixité des cultures qui imprègnent la société danoise actuelle. Le groupe chante en danois, en turc et en kurde et propose une musique métissée, teintée de folk et de pop rock aux accents psychédéliques.
Luna Ersahin, la chanteuse lead, elle-même issue des deux cultures – danoise et kurde – inspire et incarne la musicalité du groupe, entre orient et occident. Sa voix envoûtante est sublimée par le saz et la darbuka, deux instruments traditionnels que l’on retrouve en Turquie et au Kurdistan. Les instruments électroniques, les percussions, les tambours et la guitare apportent une dimension contemporaine aux compositions élégantes et magnétiques d’AySay, à la fois pleines de nostalgie et d’espoir.
Une très jolie découverte musicale pour se transporter dans un pays imaginaire, quelque part entre le nord de l’Europe et le moyen orient !
Programmé en partenariat avec la salle de musiques actuelles ALICE cph (Danemark), un lieu de rencontre pour les oreilles curieuses et les esprits ouverts. ALICE programme des musiques de tous horizons, du folk au jazz/impro, de la musique électronique au métal, de l’avant-garde à l’art sonore.
Green Line Marching Band
Né en 2019 au plus près de la ligne verte du Voyage à Nantes et de La Nuit du VAN, Green Line Marching Band est aujourd’hui la fanfare attitrée de cet événement marathon et populaire. Mais attention, ici, le terme fanfare n’est pas à entendre dans son sens traditionnel. Non, Green Line Marching Band, groupe mobile et entièrement autonome, dépoussière le genre tout en malice et en puissance sonore.
Articulé autour des « guitare-basse-batterie-clavier-chant », Green Line Marching Band est constitué du meilleur de la scène rock nantaise contemporaine. Dès que le tocsin de la fête à l’air libre sonne, les membres de Von Pariahs, French Cowboy, BL2OM, Blond, Neil Young ou encore Albinos Congos serrent les rangs et ne forment plus qu’un. Au fil d’une déambulation au long cours, le régiment électrique et costumé ainsi formé s’amuse à reprendre des standards connus – Heroes de David Bowie, Hey Ya d’Outkast, Bitter Sweet Symphony de The Verve… L’important pour le public n’est pas de connaître ou reconnaître tel ou tel tube, mais bel et bien de marcher dans les pas d’une fanfare aussi folle que surprenante.
Alors let’s go : toutes et tous en désordre de marche maintenant !
Des milliers de kilomètres avalés, des dizaines de salles de concert investies, une multitude de visages croisés. En dix ans, Last Train s’est emparé de la scène rock française.
Après avoir signé le premier chapitre de leur histoire, « Weathering », les quatre membres du groupe, qui ont d’une fratrie tout sauf le sang, découvrent les vertus d’un temps qu’ils n’ont jamais pu prendre, développent leur propre maison de disque et agence de booking, donnent vie à un festival à leur image et sortent à l’automne 2019 « The Big Picture », un deuxième album, celui de l’intime, une exploration en profondeur, une confession.
L’indépendance et le libre-arbitre comme premières lignes de conduite, ont donné vie à un troisième chapitre radical et assumé.
Les blousons du rock and roll, sans ses clichés. Les slims de la pop, sans sa naïveté. Les boots du blues, sans son prosaïsme. Last Train libère un rock and roll hypnotique, dans un univers écorché et maîtrisé.
De Woodkid, on savait déjà qu’il faisait le pont entre l’ancien et le nouveau monde, l’organique et l’électronique, l’univers visuel et le monde sonore. Réalisateur, compositeur, plasticien, il est un des rares artistes à penser son œuvre en croisant toutes les disciplines artistiques, scientifiques ou sportives qui le fascinent. Cette singularité lui a permis d’épingler à son palmarès des collaborations avec les étoiles les plus scintillantes de la culture pop (de Lana Del Rey à Drake en passant par Rihanna et Pharrell), mais aussi d’être choisi pour composer l’un des hymnes pour les JO de Paris 2024 !
Il aura donc fallu 7 ans pour que Woodkid donne un successeur à son premier disque The Golden Age. Cet album s’appelle S16, référence scientifique au souffre qui enflamme, donne la vie comme la mort. On retrouve avec le même plaisir les orchestrations magistrales à la puissance titanesque, les cordes et les percussions tribales et cette voix caractéristique à la suave gravité. Woodkid réussit le prodige de nous faire danser sur la mélancolie et des mélodies qui parlent à l’intime.
Mais c’est sur scène que son univers prend toute son ampleur, car il nous offre une expérience visuelle et sonore absolument épique, un moment hors du temps où toutes les émotions se croisent et s’entrechoquent le temps d’un concert qu’on vous prédit d’ores et déjà magique !
TEKE::TEKEMettons les choses au(x) (deux) point(s). L’origine du nom Teke::Teke n’a rien à voir avec le fantôme d’une fillette japonaise qui se serait fait coupée en deux par un train, comme on peut le lire sur la Toile. Les membres de ce groupe montréalais ont d’abord voulu rendre hommage au mouvement « Eleki », (électrique en japonais), référence à la folie pour le surf rock qui s’est abattue sur l’archipel nippon dans les années 1960 et popularisée par l’onomatopée « teketeketeke ». L’étonnant septet incorpore à cet héritage des sonorités psychédéliques voire noise, ainsi qu’une approche théâtrale à travers la personnalité vibrionnante de sa chanteuse japonaise Maya Kuroki. Tarantino peut tourner Kill Bill 3, on a déjà la BO.
Gaëtan RousselFigure de la scène française et chanteur de Louise Attaque, Gaëtan Roussel revient avec un quatrième projet solo intitulé “Est-ce que tu sais ?”, un album acoustique fort et fascinant, nous faisant découvrir 11 titres entre tubes pop et chansons intemporelles. Dans cet album solo, Gaëtan cultive une nouvelle page, splendide et forte, où chaque titre va rester profondément en vous.
Après tant de belles images et de photos musicales, tant de situations et de moments d’émotions, cette fois, Gaëtan s’attache à explorer son écriture et mettre tous les mots sur les douleurs, les doutes, les espoirs, les bonheurs et les humeurs. La simplicité bouleversante des musiques et de la production, la force et la rage de vivre au fond de la gorge, donnent une vraie puissance émouvante à la voix et aux mots.
La FemmeGroupe pionnier et novateur de la french pop depuis 2010, référence incontournable célébrée ici comme ailleurs, La Femme revient opportunément “Foutre le bordel”, qui est l’un des quinze titres de Paradigmes. En mouvement perpétuel, en effervescence permanente, les quatre comparses évoluent au gré des courants musicaux contemporains.
Leur tropisme pour les mélanges reste intact : psyché, pop, rock, électro, surf, new wave 80’s ou chanson 60’s, La Femme prouve qu’elle reste au sommet d’une nouvelle vague française dont on ne compte plus les enfants ! Sous influences multiples (Kraftwerk, Taxi Girl, Velvet Underground, Elli & Jacno…) La Femme, généreuse et accueillante, vous tend sa main et si vous la saisissez, ce sera peut-être le frisson de votre vie !