RENDEZ-VOUS LES 19-20-21 JUILLET 2024 île du petit maroc - saint-nazaire
Bambi

Dans la mouvance d’une jeune génération de DJs inspirée par l’hybridation des genres et des époques de la rave, Bambi s’est forgée une solide réputation sur la scène française grâce à des sets nuancés et cosmiques teintés de sonorités techno, house, breaks et trance.

Une culture musicale encyclopédique alliée à une vision organique du mix qu’elle a établi très tôt, en tant que violoniste puis danseuse hip-hop, arpentant les meilleurs dancefloors d’Europe en quête de sensations. Mais sa vision inclusive de la culture électronique ne s’arrête pas au mix : la jeune artiste milite au quotidien pour des lieux festifs plus Safe au sein de l’association Consentis.
Derrière les platines, sa candeur et sa sensibilité apparentes laissent place à une dextérité et une culture musicale impressionnantes; entre sonorités acides et nappes irrésistibles, ses sets progressifs ont récemment fait vibrer les Transmusicales de Rennes, et le Positif Education Festival. Cette trajectoire prometteuse lui a déjà valu une résidence au Macadam de Nantes, à Rinse France, ainsi que pour le collectif berlinois Hypersoft.

Closet Yi

Closet Yi a d’abord fait ses armes en tant que DJ au Pistil, haut lieu des musiques underground à Séoul : un club où elle a également pu rencontrer et jouer aux côtés de nombreux sélectionneurs internationaux qu’elle admire, dont Patrick Holland, Esa, Benedek et Folamour.

Brouillant les frontières entre la house et la techno, Closet Yi est l’artiste qui a marqué la scène musicale électronique des clubs coréens ces dernières années. Si vous écoutez son mix-autoportrait de Stamp the Wax qu’elle a composé à 100%, vous comprendrez d’emblée à quel point elle est amoureuse de cette musique.
Closet Yi  embrasse avec un talent fou tous les genres musicaux qu’offrent les musiques électroniques, de la techno pop coréenne des années 90 à la house italo baléare, en passant par la basse britannique et la techno de Detroit. Elle s’est aussi fait remarquer avec sa compatriote et sœur de B2B Naone avec le duo C’EST QUI?
L’une des prochaines reines du dance floor à n’en pas douter !

En collaboration avec le festival coréen DMZ Peace Train

GLITTER55

Originaire de Rabat, GLITTER55 diffuse une techno puissante et aérienne, boostée aux rythmiques Gqom, une variante de house music faisant usage d’échantillons sonores issus de musiques africaines et subtilement épicée de ses influences orientales. Si elle agrémente souvent ses DJ set d’un classique chaabi, c’est bien à coups de kicks qu’elle s’est faite une place sur les plateaux des meilleurs festivals et clubs français ou étrangers (Concrete, Le Sucre, La Machine, FFORMATT, Beursschouwburg, Neubad, 1988…).
DJ résidente sur Rinse France depuis 2019, GLITTER55 s’affiche sur les programmations de festivals majeurs et prescripteurs : We Love Green, Transmusicales, Techno Parade ou encore Le Bon Air Festival où elle avait réalisé sa première Boiler Room en 2019.

KENYA20HZ

Explorant toutes les possibilités des basses fréquences à travers des connexions rythmiques imprévisibles et agressives, KENYA20Hz est DJ, performeuse et productrice de musique électronique.

Depuis 2014, elle explore tous les sons de la techno à l’electronica et s’est construit une solide réputation dans la scène électronique underground. En 2020, elle a participé au festival Art Rio avec une performance créée pour l’exposition vidéo, clôturant le festival. Kenya20hz construit ses sets comme une véritable expérience sonore et physique qui oscille entre down tempo, drum & bass, breakbeat et techno. Sa musique est faite pour danser bien sûr mais secoue tout autant le corps et l’esprit !

En collaboration avec le festival brésilien Coquetel Molotov

Turkana

EN PARTENARIAT AVEC LE FESTIVAL OUGANDAIS NYEGE NYEGE

DJ et productrice, Turkana livre une techno qui tabasse ! Anita Kevin est une artiste sud-soudanaise qui a grandi dans un camp de réfugiés à Kakuma, dans la région de Turkana au Kenya. C’est de cet endroit qu’elle tient son nom de scène. D’abord fascinée par la mode, elle reçoit une invitation pour participer à un workshop organisé par la structure Femme Electronic, sous l’impulsion de l’Ougandaise DJ Rachael. Aujourd’hui, elles forment le crew 4manysisters, en plus de Decay et Hibotep. Avec talent et humilité, elles défendent la place des femmes africaines dans la musique électronique, sans même passer par la case mainstream. Turkana rejoint le collectif Anti-Mass et trouve rapidement sa place au sein de l’incontournable Nyege Nyege Festival. À travers un style « hard dance » où s’entrechoquent techno viscérale et sons expérimentaux africains, Turkana, qui aime attaquer le dancefloor sans compromis mais toujours avec férocité et grâce, a définitivement rejoint le gang des figures undergrounds de Kampala (Capitale de l’Ouganda).

Programmé en partenariat avec le Nyege Nyege Festival (Ouganda). Haut-lieu de l’avant-garde des musiques électroniques, Nyege Nyege est à la fois label, incubateur et organisateur d’un des festivals les plus excitants du continent africain.

Sama’ Abdulhadi

Dernière minute : SAMA’ ABDULHADI annule sa venue aux Escales ce dimanche

Le set de Sama’ Abdulhadi prévu ce dimanche 31 juillet au Club 360 de 22h30 à 1h est annulé.

>> Communiqué transmis par le management de Sama’ Abdulhadi

Pour des raisons totalement indépendantes de sa volonté, Sama’ ne pourra malheureusement pas assurer son DJ set ce soir aux Escales de Saint Nazaire, son VISA n’ayant pas été délivré dans les temps. Ses shows prévus aux festivals Awakenings et Monegros ce week-end ont également été annulés.

Nous présentons nos plus plates excuses aux festivaliers qui se réjouissaient de venir écouter son DJ set

NAKEYE, présent dans le cadre du projet Globe-Trotter, a la gentillesse de prendre les platines au Club 360 de 22h30 à 1h. Mille mercis à Cristobal a.k.a NAKEYE d’assurer le show pour nos clubbers.

 

Figure de l’underground palestinien, Sama’ casse tous les codes et propose une techno percutante, parfois radicale ! C’est la première et unique femme DJ de Palestine à avoir importé la musique techno en Cisjordanie.
En 2006 déjà, elle avait bousculé le monde de la nuit à Ramallah, en mixant dans les bars. « Désormais, on peut y entendre de la musique techno chaque week-end. Je suis assez fière du changement que j’ai pu apporter ».
A travers ses mix, la jeune palestinienne n’a qu’un seul but : faire danser les gens, leur apporter de la joie et envisager le monde autrement !
Malgré cela, le 27 décembre 2020, Sama’ est arrêtée par les autorités palestiniennes pour avoir organisé un concert de musique électronique à Nabi Moussa, lieu présumé de la tombe du prophète Moïse. Une pétition en ligne réclamant la libération de la DJ a réuni plus de 100 000 signatures en une semaine. Un événement qui l’aura marqué mais qui aura renforcé son désir d’émancipation en tant qu’artiste féminine et palestinienne de la scène électro-techno.
Cela faisait quelque temps que nous souhaitions inviter Sama’ Abdulhadi : c’est maintenant chose faite !

TDJ

EN PARTENARIAT AVEC LE FESTIVAL CANADIEN MEG

La productrice montréalaise TDJ réhabilite la trance et l’eurodance des années 2000 tout en piochant dans les références culturelles d’aujourd’hui, avec une prédilection pour les classiques signés Tiestö, Gamemaster, Signum ou encore ATB, et tout autant pour les premiers CDs qu’elle a écoutés en boucles de Blink-182, From First To Last, Taking Back Sunday. En s’entourant de collaborateurs comme X-Coast, Panteros666, Paul Seul ou autre Krampf, TDJ prend un malin plaisir à faire suer les dancefloors, comme à barioler de fluo, mais toujours avec une petite touche de mascara, Bandcamp et autre Spotify. La musique de TDJ puise sa force dans la démesure, l’immense, l’over the top. Un genre musical excessif qui va bousculer et faire exploser toutes les barrières. On adore ça !

Programmé en partenariat avec le Festival Meg (Canada). Défricheur et curieux de nature, le festival prescripteur de la relève électro, hip-hop et pop rock s’est donné pour mission de rassembler un public de noctambules curieux et ouverts, de représenter fièrement la musique canadienne et de créer des ponts solides avec les États-Unis et l’Europe.

 

Samifati

Entre techno mélodique, percussions ancestrales, boîtes à rythmes et synthétiseurs analogiques, le duo nantais Samifati propose un concert-vidéo sous forme d’immersion sonore et visuelle inspirée de leur périple quasi-initiatique, de l’Egypte à l’Indonésie, en passant par la Corée du Sud, le Pakistan, le Maroc, la Thaïlande, le Burkina Faso et le Bénin… Un road trip imaginé et créé à partir de sons d’ambiances, d’instruments traditionnels, de chants en langues locales associés à des images de rues, de paysages et de scènes de la vie quotidienne ; Un véritable carnet de voyage cosmopolite et ultra vivant ! Un concert immersif où le mapping tient une place prépondérante et dont le violon de Sami est le fil conducteur. C’est dansant, puissant, brut, hypnotique et mélancolique !
En route pour le voyage…