RENDEZ-VOUS LES 19-20-21 JUILLET 2024 île du petit maroc - saint-nazaire
Adomaa

Originaire du Ghana et du Nigeria, Joy Onyinyechukwu Adomaa Serwaa Adjeman alias Adomaa est un ovni de la scène musicale africaine.

Performeuse et actrice, la chanteuse a aussi connu le succès dès son premier EP Afraba en 2015, une œuvre visionnaire mêlant subtilement les sonorités jazz, pop-folk, highlife et néo-soul. Adomaa apporte ainsi une nouvelle vague artistique au monde de la musique africaine avec un style très personnel qu’elle appelle Afro-jazz. La chanteuse ghanéenne réussit le tour de force de réunir la fraîcheur d’une soul enjouée, l’énergie presque adolescente du pop-rock, l’indolence d’un terroir sonore revisité, et aussi le lyrisme d’un jazz un peu plus profond, qui révèle quelques-unes des fêlures de son être. Une très jolie découverte musicale qui nous rappelle combien le continent africain est une ressource inépuisable de talents !

En collaboration avec le festival ougandais Nyege Nyege

Kiki

C’est à l’occasion du confinement de 2021, à Bangkok, que les 3 membres de Kiki se sont rencontrés et ont commencé à créer de la musique ensemble.

Les 3 artistes qui partagent des intérêts communs pour le rock alternatif, la pop et le funk ont donc tout naturellement commencé à composer leurs premiers titres en combinant des lignes de synthétiseurs groovy, du hip hop et des éléments lo-fi ! Le résultat ne se fait plus attendre !
Au printemps 2022, Kiki sort son premier album « Metamorphosis: First Stage », entre pop, pop-rock et trip-hop ! Acclamé par le public et les critiques, Kiki annonce le renouveau de la musique pop thaïlandaise et devient rapidement l’un des groupes les plus prometteurs de sa génération en Asie du sud-est.

En collaboration avec le festival thaïlandais Maho Rasop

Skip the Use

Le groupe de rock lillois a fait son grand retour en mars dernier avec la sortie d’un quatrième album : « Human Disorder ».
Skip The Use effectue son grand retour après 2 ans d’absence avec un nouvel album et une nouvelle tournée . L’album, « Human Disorder » intense, bigger than life, aux émotions qui s’entrechoquent, imprime une traversée des ténèbres pour accéder à la lumière, celle qui fait de nous des Hommes. Un nouvel album qui nous montre encore une fois toute l’efficacité et la puissance de Mat Bastard et de son gang. Un album pop- rock parfaitement taillé pour la scène, leur terrain de prédilection.

Adé

Après le succès fulgurant de Therapie Taxi, vrombissant trio au succès supersonique, Adé trace sa route en solitaire avec un premier album addictif, Et alors ? une folk, country-pop futuriste et solaire.

Après  5 années au lead vocal de Therapie Taxi, Adé livre un premier album nourri de folk et d’influences country, qu’elle a ramené tout droit de Nashville, Tennessee.  A cheval entre pop luxuriante et country futuriste, Adé a trouvé le bon galop, traversant en amazone, avec justesse, aplomb et un rien de candeur, les multiples paysages de l’amour et ses météos changeantes, ses zones de turbulences et ses accalmies solaires. Dans une atmosphère de saloon perdu sous la lune, elle chante, mélancolique, « les cœurs brisés vous souhaitent une bonne année », mais les années qui s’ouvrent pour Adé s’annoncent assurément radieuses.

Fishbach

Attendu depuis cinq ans, le second album de Fishbach est à la hauteur des espérances. Louve solitaire de la chanson française, Flora Fischbach confirme qu’elle chante avec les yeux.

En elle, cohabitent une adolescente rock et déchirée, une femme fatale et une prêtresse rétro-futuriste. Passé présent futur, pour mieux s’affranchir des carcans et aller vers plus de liberté. Fishbach est toujours cette musicienne qui marqua les Victoires de la musique en 2018 avec son premier album À ta merci et cette actrice qui, en 2019, incarna Anaïs aux côtés de Romain Duris dans la série Vernon Subutex. Mais elle est aussi devenue tout autre chose. Créature insaisissable, Fishbach nous entraîne dans la forêt de son nouveau disque Avec les yeux composé loin de la ville, dans les Ardennes, sa terre natale. C’est une forêt hallucinée, pleine d’une lumière nouvelle. Une forêt où l’on se promène les yeux grands ouverts. On y croise, ici, la bizarrerie de Kate Bush ou l’audace de l’australien Kirin J Callinan ; là, la sensualité androgyne de Scorpions et tiens, cachée sous un arbre, une classe à la Marlène Dietrich. Du jeu, une intensité certaine et des outrages !

Hervé

Pulsation électronique, hédonisme pop, héritage de la culture urbaine et populaire, Hervé dépasse l’attendu. Énergie toujours palpable en chaque note et un mantra ancré au plus profond : Tout ira mieux demain. L’album sortira au printemps 2023 !

Figure majeure de la nouvelle scène pop française, Hervé est un producteur, auteur-compositeur interprète et musicien français naviguant entre chanson française, musique électronique, rythmes survoltés des années 80. En 2015, il se fait connaître comme la moitié du duo britannique Postaal, groupe aux sonorités soul et électroniques qu’il cofonde avec le britannique Dennis. Hervé est une personnalité à part dans le paysage musical. Sacré « Révélation masculine » aux Victoires de la Musique en 2021 avec son premier album Hyper suivi d’une tournée marathon de plus de 150 dates, Hervé explose à nouveau les formats avec un nouvel album magnétique et lumineux, à la fois intemporel et générationnel attendu au printemps 2023.

Zaho de Sagazan

Zaho de Sagazan, la nouvelle sensation musicale de ce début d’année réussit la synthèse entre grande tradition de la chanson française et rythmes électro-pop.

Zaho de Sagazan, c’est une voix singulière et puissante, un timbre grave porté par des rythmes électroniques qui côtoient la techno berlinoise et l’electronica française. Passant des murmures aux cris, l’artiste s’amuse, se raconte et dissèque les travers humains sur des textes en français d’une sincérité tranchante. Ses mots, drapés de mélodies puissantes à la mélancolie subtile, nous plongent dans une intimité partagée, où l’on goûte à la délicieuse liberté de danser, de penser et de s’émouvoir.
Au côté de son batteur Tom Geffray, l’artiste originaire de Saint-Nazaire nous livre une Krautpop moderne inspirée de ceux qui l’ont fait danser tels que Koudlam ou Autumn. Côtoyant l’originalité de Catherine Ringer ou de Brigitte Fontaine, vient toujours le moment où elle retourne s’asseoir les yeux fermés à son piano, fidèle allié de ses créations et de ses émotions.

Cimafunk

La tornade Cimafunk s’est imposée comme la nouvelle sensation musicale venue de Cuba avec son mélange de funk et de musique afro-cubaine. Dès son entrée en scène, la température monte d’un cran ! Vous n’êtes pas prêt !

Chanteur, compositeur et producteur, Erick Iglesias Rodríguez, ancien étudiant en médecine, s’est re-baptisé Cimafunk («cima» pour cimarrón, le nom des esclaves en fuite, réfugiés dans les montagnes) pour mieux se muter en rock star. Son premier album, produit par Jack Splash (Kendrick Lamar, Alicia Keys, Solange Knowles…) a fait une entrée fracassante sur la scène cubaine en 2018 avec son titre phare Me Voy. Cette bête de scène, consciente de ses racines, a accompli une véritable révolution dans le panorama musical cubain. Il bouleverse tout, expérimente tout, pourvu que le groove prenne possession des corps. La musique de Cimafunk est libre, festive, dansante et résolument tournée vers l’avenir. Un tourbillon de chaleur, une énergie incandescente et des shows nous rappelant la créativité musicale d’un Georges Clinton.

Meule

Coup de coeur !
Du rock instrumental et cosmique, voilà le projet euphorisant de Meule, tout jeune groupe de rock constitué de Doris Biayenda et Léo Kapes aux batteries et de Valentin Pedler à la guitare et au synthé modulaire !
Un premier album de haute volée, sauvage, explosif et enivrant qu’ils viendront défendre aux Escales cet été ! A voir absolument pour le rockeur ou la rockeuse qui sommeille en vous et tous les curieux.euses avides de découvertes musicales hors normes !

La musique de Meule est portée par des grooves répétitifs et saturés à la CAN, des séquenceurs et des atmosphères électroniques rappelant Tangerine Dream et les groupes de kraut softs allemands des années 70. Plus près de nous dans le temps, on songe aussi à Animal Collective dans l’ôde d’un psychédélisme post-moderne, façon Mario Kart en montée de nutella une nuit de pleine lune.
Une musique kaléidoscopique et intense à voir, à écouter et à danser aussi !

Astéréotypie

La distorsion des mots et des sons permet de rendre compte d’un vécu très intime mais aussi d’une perception collective. C’est le double mouvement d’Astéréotypie : nous faire entrer dans un monde, celui des troubles autistiques et formuler avec une justesse vertigineuse ce que nous pouvons tous ressentir. C’est rock, c’est punk et c’est puissant !

« Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme… La vie réelle est agaçante ! ». Tels sont les mots de Claire Ottaway, la nouvelle recrue d’Astéréotypie, groupe de post-punk énergique tirant parfois sur le garage-rock ou le noisy. Né en 2010 au sein d’un institut médico-éducatif, le groupe revient avec un troisième album fait de textes atypiques et de phrasés lunaires qui aimantent l’oreille et nous embarquent dans une expédition à haute intensité affective. Croiser le collectif Astéréotypie, ça secoue. Ça fait bouger les jambes quand ça s’élance, ça désarticule les bras à chaque scansion ou rupture de tempo, ça fait hurler en chœur à s’en froisser les cordes vocales et ça fracasse les a priori pour peu qu’il en reste. Aucun groupe ne ressemble à Astéréotypie dans la Drôme, ni sûrement même dans le monde. La vie réelle est parfois réjouissante !

La Route des Oubliés

Une exposition entre peintures et photographies 

Cette exposition de gravures, peintures et photos évoque en filigrane les souffrances endurées par ceux qui fuient, qui cherchent un abri, un refuge, le temps de se reconstruire.
Cette exposition est dédiée à :
> Ceux qui arpentent des villes et des pays, qui franchissent des mers et des montagnes dans l’espoir de trouver un chemin à la recherche de leurs vies perdues. Ceux qui trouvèrent des forces pour fuir, pour fuir jusqu’à la captivité.
> Ceux qu’on ne voit pas, qu’on ne veut pas voir et qui nous disent, muets dans nos rues, que « le monde est très petit quand on ne sait pas où aller » et que nous pourrions, nous aussi, devenir des Oubliés.

Mais aurons-nous leur ténacité et leur courage ? L’objectif principal de l’exposition est d’amener les visiteurs à des échanges avec les artistes et entre eux, et surtout à s’interroger individuellement sur leur capacité d’humanisme et de générosité. Cependant, malgré la gravité du thème, l’exposition est et reste un projet artistique pour nous éclairer sur notre humanité, le sens dans lequel va le monde et tout ce qui peut, à tout moment, percuter nos vies, celles d’ici et d’ailleurs !

Des artistes engagés

C’est la complémentarité des travaux artistiques de Samy Abesdris (Gravures) et Thibault Vandermersch (Photos) qui les a conduit à réunir leurs œuvres pour témoigner, chacun à sa manière, leur solidarité avec ceux qui ont tout perdu et qui aimeraient tant reconstruire une nouvelle vie.

L’exposition, de par son ampleur, nécessite un lieu de grande dimension. Un lieu que les festivaliers pourront retrouver à proximité de la scène Espadon, pour y découvrir :
– Des gravures et des peintures de Samy Abesdris qui ont nécessité 3 années de création
– Des photos de Thibault Vandermersch , prises pendant plusieurs années dans la jungle de Calais
– Un hommage visuel et musical, rendu aux ONG qui portent secours aux migrants naufragés en mer
– Un hommage à la Philosophe et Journaliste Hannah Arendt qui déjà en 1943 traitait de cette question devant l’assemblée générale de la Société des Nations (ex ONU)

Wu-Lu

Originaire du sud de Londres, le créatif producteur et multi-instrumentiste Miles Romans-Hopcraft, alias Wu-Lu, est un défi pour les ayatollahs du classement. Venu du skateboard, le musicien trace une trajectoire téméraire qui passe par le rock underground, l’abstract punk, le jazz lo-fi, le grunge indolent, le hip hop brumeux… Résistant aux genres mais perméable au changement que vit sa communauté de Brixton, Wu-Lu, qui enseigne la production musicale auprès des personnes issues de milieux difficiles, se fait le porte-voix rageur des oubliés de la gentrification.

Last Train

Des milliers de kilomètres avalés, des dizaines de salles de concert investies, une multitude de visages croisés. En dix ans, Last Train s’est emparé de la scène rock française.

Après avoir signé le premier chapitre de leur histoire, « Weathering », les quatre membres du groupe, qui ont d’une fratrie tout sauf le sang, découvrent les vertus d’un temps qu’ils n’ont jamais pu prendre, développent leur propre maison de disque et agence de booking, donnent vie à un festival à leur image et sortent à l’automne 2019 « The Big Picture », un deuxième album, celui de l’intime, une exploration en profondeur, une confession.

L’indépendance et le libre-arbitre comme premières lignes de conduite, ont donné vie à un troisième chapitre radical et assumé.
Les blousons du rock and roll, sans ses clichés. Les slims de la pop, sans sa naïveté. Les boots du blues, sans son prosaïsme. Last Train libère un rock and roll hypnotique, dans un univers écorché et maîtrisé.

Marina Satti

Révélation grecque étourdissante, Marina Satti est LE diamant qui éblouit l’Europe. Musicienne, productrice et interprète aux multiples facettes, l’artiste innove sans cesse dans sa musique. Entre pop urbaine sans frontière, folk traditionnel balkanique, musique traditionnelle grecque et du Moyen-Orient, elle parcourt le monde pour partager ses expériences musicales et les sons qui la font vibrer.

Marina Satti a conquis le monde en 2017 avec son premier single Mantissa. Après avoir parcouru les scènes et les festivals du monde entier, elle nous présente un nouveau chapitre, dont la première page s’illustre avec son single Pali. Entre patrimoine hellénique, influences hip-hop et sonorités électro, la virtuosité musicale de Marina Satti inspire et éblouit.

Minyo Crusaders

La cumbia venue du Japon !
Minyo Crusaders, c’est d’abord un projet fou et ambitieux porté par dix musiciens, né dans l’esprit du guitariste Katsumi Tanaka en quête d’identité après le tremblement de terre de Tohoku en 2011. Avec l’aide du chanteur Freddie Tsukamoto, il redonne vie aux textes du min’yō, chantés à l’origine dans les villages par des pêcheurs, des charbonniers ou des sumos. Les mélodies et les chansons du quotidien ancrées dans la culture japonaise sont ici revisitées par les rythmes du monde entier, passant entre autres par la biguine, l’afro-funk ou la cumbia, pour un projet musical aussi bien surprenant que passionnant.

TEKE::TEKE

Mettons les choses au(x) (deux) point(s). L’origine du nom Teke::Teke n’a rien à voir avec le fantôme d’une fillette japonaise qui se serait fait coupée en deux par un train, comme on peut le lire sur la Toile. Les membres de ce groupe montréalais ont d’abord voulu rendre hommage au mouvement « Eleki », (électrique en japonais), référence à la folie pour le surf rock qui s’est abattue sur l’archipel nippon dans les années 1960 et popularisée par l’onomatopée « teketeketeke ». L’étonnant septet incorpore à cet héritage des sonorités psychédéliques voire noise, ainsi qu’une approche théâtrale à travers la personnalité vibrionnante de sa chanteuse japonaise Maya Kuroki. Tarantino peut tourner Kill Bill 3, on a déjà la BO.

Suzane

Électron libre de cette nouvelle scène électro/chanson, Suzane chante ce que nous sommes. Alors qu’elle pratique la danse classique au conservatoire pendant quinze ans, elle se passionne pour la chanson réaliste (Brel, Piaf, Barbara…).

Quand plus tard elle découvre l’univers de la nuit, ses clubs et sa musique électro, c’est une révélation ! Son projet artistique prend forme : Suzane sera une artiste électro, avec la danse comme élément central – une danse déstructurée, bien loin des exigences de la danse classique – et sans cacher son amour pour les mots.

Sur son premier album inclassable, l’artiste a composé des missiles à tête chercheuse. Subtil croisement des genres où les émotions ne sont jamais galvaudées, sa musique nous saisit et nous fait sentir libre. Ses chansons sont le regard d’une jeune femme d’aujourd’hui, à l’heure des addictions vertigineuses et des écrans noirs, des doutes et des espoirs.

Gaëtan Roussel

Figure de la scène française et chanteur de Louise Attaque, Gaëtan Roussel revient avec un quatrième projet solo intitulé “Est-ce que tu sais ?”, un album acoustique fort et fascinant, nous faisant découvrir 11 titres entre tubes pop et chansons intemporelles. Dans cet album solo, Gaëtan cultive une nouvelle page, splendide et forte, où chaque titre va rester profondément en vous.

Après tant de belles images et de photos musicales, tant de situations et de moments d’émotions, cette fois, Gaëtan s’attache à explorer son écriture et mettre tous les mots sur les douleurs, les doutes, les espoirs, les bonheurs et les humeurs. La simplicité bouleversante des musiques et de la production, la force et la rage de vivre au fond de la gorge, donnent une vraie puissance émouvante à la voix et aux mots.

James BKS

D’origine camerounaise, le fils du saxophoniste Manu Dibango, James BKS s’installe aux USA où il compose pour des stars américaines comme Puff Daddy, Ja Rule, T-Pain, Snoop Dogg, Talib Kweli… De retour en France, il décide de créer un nouveau genre de musique afro-électro-hip hop qu’il appelle la New World Music. Signé sur le label de l’acteur Idris Elba, ses productions mêlent désormais percussions africaines, hip hop et mélodies pop pour une musique afro-futuriste entêtante, à l’image de son tube New Breed, avec la rappeuse anglaise Little Simz et la légende américaine Q-Tip (A Tribe Called Quest). Il fait de son héritage une grande inspiration dans ses compositions qui rassemblent guitares maliennes, basses assourdissantes nigériennes, chœurs féminins enjoués et cuivres congolais.

Son premier album « Wolves of Africa » sortira en mars 2022, un projet né de sa longue quête personnelle, artistique et familiale.

Laeti

D’origine algérienne et guadeloupéenne, cette jeune femme de 27 ans découvre le rap très jeune. Piquée au vif par l’énergie de cette musique, elle fait ses premières armes au sein du collectif parisien Keskiya pour rapidement voler de ses propres ailes. Désireuse de faire ses preuves, Laeti traîne jusqu’aux soirées open mic parisiennes les plus sombres et éblouit la concurrence par ses qualités de kickeuse. Loin d’être rassasiée, elle enchaîne les passages en radios à l’instar de Radio Campus, la Scred Radio ou encore Radio LAP. Suite logique à son ascension, elle s’offre ses premières scènes en festivals (Irruption à Belleville, Femcees Night à Saint-Étienne).

Pour la saison 2 de « Validé », série dédiée au rap français, Franck Gastambide décide de miser sur Laeti.

En attendant la sortie de son premier album qui arrivera courant 2022, Laeti connaîtra probablement le même succès que son prédécesseur Hatik. Elle dispose désormais d’une ressource puissante pour graver son nom sur le rap français.